Bio
Née dans une mangeoire à moutons, des chatons dans les mains, Olga Fabrizio grandit en plein air dans une ambiance légumes du jardin et peinture à doigts. Mordue de lectures qui lui ouvrent des perspectives infinies, elle quitte le canton de Vaud pour s’installer un peu partout et démarrer autant d’études que d’expériences de vie. Elle passe du coq à l’âne, court tous les lièvres à la fois, fait chanter les corbeaux et hurler les loups.
Après une année de stylisme expérimental à Paris, un Erasmus en typographie à l’ancienne à Exeter, une partie de saute-moutons la mène à Bruxelles où elle étudiera la communication visuelle à l’Académie royale des Beaux-Arts. Elle en ressort primée, revient en Suisse pour travailler comme graphiste dans une agence de publicité, puis elle s’installe à Genève et apprend à dire quatre-vingt et à oublier le lac Léman.
Elle travaille avec les Bibliothèques municipales, la Ville de Genève, les SIG, Le quotidien Le Courrier, Terre des Hommes, le magazine Fémina, Léon Hatot, le Migros magazine, les éditions Mango, le théâtre Am Stram Gram, l’arcade Sage femmes, Tehkne SA, les Bains de Lavey, Amnesty International, les Bibliothèque de Carouge, la Mairie de Meyrin, le journal Le TEMPS, les Vert.e.s genevois, la Mairie d’Onex, l’Agenda 21 Ville de Genève, le DFJC Canton de Vaud, entre autres.
